L’intégration rapide de l’intelligence artificielle (IA) dans les soins de santé soulève des préoccupations quant à son équité. Une étude récente met en lumière la variabilité des recommandations thérapeutiques émises par des modèles d’IA générative pour une même condition médicale, influencée par le contexte socio-économique et démographique du patient.
Au cours de la dernière décennie, les perturbations des rythmes circadiens et la dysrégulation du cycle veille-sommeil ont été reconnues comme des facteurs de risque importants de la maladie d’Alzheimer (MA), dès les stades précliniques. Une fragmentation et une instabilité croissantes de ce rythme ont été associées à une détérioration des performances cognitives et à une progression clinique de la MA chez les adultes âgés sans démence au départ.
L’importance des mots pour des maux
Consommation régulière et à long terme d’huile d’olive et démence
Maladie d’Alzheimer:des espoirs enfin justifiés?
SLA: la piste des rétrovirus endogènes se précise